Dans le but de mettre en lumière le vécu de nos stagiaires et de favoriser une meilleure compréhension du Programme de participation citoyenne nous vous offrons quelques capsules vidéos dans lesquelles ils vous partagent leur cheminement et leur expérience!
« Les 4 ou 5 employés journaliers qu’on embauche chaque semaine repartent parfois quelques jours si ce n’est quelques heures plus tard. Nous arrivons difficilement à sélectionner, intégrer et former les gens adéquatement. La pression est forte et les gestionnaires qui recrutent sont épuisés voir découragés.
Il n’a fallu que quelques rencontres entre les directions des 2 organisations pour déterminer les conditions de succès de ce partenariat. Des discussions efficaces, des méthodes éprouvées et quelques jours plus tard, une équipe de 5 nouvelles personnes s’affairent à inspecter et trier des lots de pièces innombrables.
Nos superviseurs sont impressionnés par la qualité du travail effectué, mais surtout par l’ambiance qui règne dans cette cellule de travail qu’est celle du Groupe Probex.
Rapidement, la majorité de nos travailleurs se sont réjouis de voir arriver chaque matin ces « nouveaux collègues » qui, malgré des difficultés pour certains apparentes, étaient reconnaissants de pouvoir contribuer à un projet de société et de se réaliser dans un travail.
Lundi le 4 décembre dernier avait lieu le lancement officiel de la construction de la nouvelle Maison Marc-Antoine qui accueillera 17 résidants dans ses studios et ses appartements 3 1/2.
Ce beau et grand projet a été réfléchi depuis 3 ans et il se concrétise grâce à l’association entre Constructions Morin et notre filiale Monchénou qui unissent leur expertise et leurs compétences afin d’offrir un milieu de vie significatif, stimulant et adapté pour des personnes vivant avec des limitations fonctionnelles diverses et à risque d’isolement social.
Ce nouveau développement permet d’ajouter une 5e maison à la grande famille de Monchénou et à porter le nombre de résidants accueillis à 50 à l’automne 2024!
La source d’inspiration de cette initiative novatrice prend racine dans le vécu de Marc-Antoine Morin, résidant à Monchénou depuis le mois d’août 2021 et celui de sa famille.
Une vingtaine de policières et policiers du Service de police de Sherbrooke (SPS), ont laissé de côté leurs uniformes pendant 5 semaines afin de vivre une expérience d’immersion auprès de différentes communautés parfois marginalisées.
Les objectifs du projet visent à mieux connaitre la réalité des personnes qui composent ces communautés et de favoriser une meilleure compréhension du rôle des policières et policiers.
Notre filiale Éducation a eu l’opportunité de contribuer à ce beau projet en accueillant pendant deux jours les policières et policiers du SPS à notre Programme de participation citoyenne.
« Quand on connaît mieux, on comprend mieux. »
Guylaine Perron, capitaine aux projets spéciaux, SPS
Reportage de NOOVO – Dominique Côté
Les policières et policier du Service de police de Sherbrooke (SPS) ont également été à la rencontre de personnes en situation d’itinérance, différents groupes communautaires et des membres de la Fédération des Communautés culturelles de l’Estrie (FCCE).
« Les 4 ou 5 employés journaliers qu’on embauche chaque semaine repartent parfois quelques jours si ce n’est quelques heures plus tard. Nous arrivons difficilement à sélectionner, intégrer et former les gens adéquatement. La pression est forte et les gestionnaires qui recrutent sont épuisés voir découragés.
Il n’a fallu que quelques rencontres entre les directions des 2 organisations pour déterminer les conditions de succès de ce partenariat. Des discussions efficaces, des méthodes éprouvées et quelques jours plus tard, une équipe de 5 nouvelles personnes s’affairent à inspecter et trier des lots de pièces innombrables.
Nos superviseurs sont impressionnés par la qualité du travail effectué, mais surtout par l’ambiance qui règne dans cette cellule de travail qu’est celle du Groupe Probex.
Rapidement, la majorité de nos travailleurs se sont réjouis de voir arriver chaque matin ces « nouveaux collègues » qui, malgré des difficultés pour certains apparentes, étaient reconnaissants de pouvoir contribuer à un projet de société et de se réaliser dans un travail.
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